Le mois de novembre a été essentiellement consacré au nettoyage du vestige.
Après avoir extrait les remblais de l’intérieur, le sol d’origine en schiste est apparu, caché par cinquante centimètres de gravats. Le seuil et le bas de l’embrasure de la porte sont parfaitement conservés. L’arrachage des racines du lierre qui avait envahi le mur, a permis de mettre à jour l’évacuation des eaux, simple trou au ras du sol qui traverse tout le mur. L’enlèvement des restes de lierre a dégagé les logements des solives (10×10) qui supportaient le plancher du premier étage et celui des deux poutres qui maintenaient le bas des montants de la machine A présent, le sommet va être bâché pour le protéger des intempéries de l’hiver.
À suivre…